Actualités

Vinted, eBay, Le Bon Coin : Ce courrier du fisc qui menace les vendeurs de cartes Pokémon en 2025

Par Julie Glawi , le 20 novembre 2025 à 12:00 - 5 minutes de lecture
découvrez comment un courrier du fisc en 2025 pourrait impacter les vendeurs de cartes pokémon sur vinted, ebay et le bon coin. informez-vous sur les nouvelles règles fiscales à venir.

Avec la folie des ventes en ligne, notamment sur Vinted, eBay ou Le Bon Coin, vendre ses cartes Pokémon n’est plus un simple passe-temps. Le fisc a les yeux rivés sur ces transactions et en 2025, il ne rigole plus. Un courrier récent menace les collectionneurs qui ne jouent pas le jeu des règles fiscales.

Ce phénomène ne touche pas que les pros. Même les passionnés qui veulent juste vendre quelques cartes au fond du grenier sont concernés. Il faut comprendre les seuils et obligations avant que le coup de bambou tombe !

Voici ce qu’il faut savoir pour ne pas se retrouver avec un courrier du fisc qui pourrait plomber l’ambiance et le porte-monnaie.

Pourquoi le fisc s’intéresse-t-il aux ventes de cartes Pokémon sur ces plateformes ?

On parle d’un marché en pleine explosion et c’est loin d’être anecdotique. Avec plus de 41 millions de contribuables concernés par les ventes en ligne, le fisc a déployé une surveillance accrue.

Les plateformes comme Vinted, eBay et Le Bon Coin doivent désormais transmettre automatiquement les informations dès qu’un vendeur dépasse 2 000 euros de ventes annuelles et réalise au moins 30 transactions. Résultat : impossible de passer entre les mailles du filet.

Et même si vos ventes ne remplissent pas ces critères, la tentation de risquer l’omission face au fisc est vouée à l’échec.

Une règle simple pour différencier passion et commerce

Quand on déniche une carte rare sous une pile oubliée pour la revendre, pas besoin de paniquer. La revente de cartes Pokémon d’occasion, utilisées personnellement, n’est pas imposable si le prix de vente est inférieur au prix d’achat.

En revanche, ce qui flashe les radars, c’est l’achat dans un but unique de revente à profit. Là, c’est comme une faille dans l’organisation : le fisc y voit une activité commerciale. Et là, il faut déclarer ses revenus en tant que bénéfices industriels et commerciaux (BIC).

Vous voyez, la ligne est fine mais bien définie. Pas question d’avoir un empire de cartes et d’oublier ses devoirs.

Comment éviter les mauvaises surprises après avoir reçu ce fameux courrier ?

Premièrement, ne paniquez pas. Ce courrier n’est pas une condamnation directe, mais un signal que votre dossier a été repéré. Si vous respectez la législation, tout ira bien.

Sachez que les erreurs ou omissions peuvent coûter cher : des amendes parfois lourdes, une majoration pouvant grimper à 40 %, voire 80 % en cas de fraude avérée. Ouf, ça donne envie d’y penser à deux fois avant de jouer avec le feu.

La clé, c’est la déclaration précise via les bons formulaires, et de savoir bien calculer les abattements. Les règles ont changé récemment, donc se faire accompagner ou bien préparer sa déclaration sur impots.gouv.fr est un réflexe malin.

Le calendrier à ne pas louper

Tous les ans, la campagne d’impôt débute en avril. Vous avez entre six et huit semaines, selon votre département, pour transmettre votre déclaration. Ce timing serré exige une organisation sans faille. La nostalgie de revoir ses cartes en mode tranquille ne doit pas faire perdre de vue deadlines et obligations.

Le fisc vous accompagne même avec des notifications et feuilles de route intégrées au site officiel pour clarifier vos montants. Vous pouvez ainsi vérifier si vos revenus issus de la vente de cartes sont soumis ou non à l’impôt.

Un petit coup de rappel : la loi ne fixe pas de plafond combien vous pouvez vendre, mais les seuils de déclaration sont clairement balisés. C’est un peu comme suivre un boss final en raid, y a des règles a respecter sinon c’est le game over fiscal.

Les autres objets précieux ne sont pas oubliés

Si la passion déborde sur la revente d’objets précieux ou de collection — comme des cartes rares, mais aussi bijoux, œuvres d’art, voire or — vous avez une taxe forfaitaire spéciale à connaître.

Certains vendeurs tentent de passer entre les gouttes en ignorant cette taxe, souvent par méconnaissance. Ce n’est vraiment pas le genre de pari gagnant face à l’administration.

La vigilance est donc de mise, que ce soit pour une vente isolée ou une activité répétée. Cela évite d’être pris au dépourvu par un courrier musclé qui vous invite à régulariser rapidement.

Plutôt collectionneur ou commerçant ?

Au final, votre profil fiscal dépend de la manière dont vous gérez ces ventes. Une activité commerciale régulière demande une déclaration automatique et sérieux. Si c’est juste pour faire de la place, pas besoin de se prendre la tête.

Mais la vigilance reste de mise pour que la nostalgie ne vire pas à la galère administrative. Bien organisé, le lien entre passion et gestion fiscale peut devenir un vrai atout.

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre commentaire sera révisé par les administrateurs si besoin.