Un nouveau jeu Dragon Ball et plusieurs projets inédits seront dévoilés lors du “Dragon Ball Genkidamatsuri”

Le compte à rebours est lancé ! Le 25 janvier 2026, le Dragon Ball Genkidamatsuri investira le Makuhari Messe de Chiba pour souffler les 40 bougies de la saga. Nouvel anime possible, jeu vidéo flambant neuf, invités légendaires : la hype est déjà hors-chart.

Bandai Namco l’a confirmé via X : un projet vidéoludique inédit sera présenté sur scène, 3 h du matin chez nous. Les réseaux officiels feront le relais en temps réel, parfait pour ceux qui ne tenteront pas le vol de nuit pour Tokyo. L’événement reste gratuit, mais la pré-inscription est obligatoire et les places fondent plus vite qu’un Senzu après un Kamehameha.

Dragon Ball Genkidamatsuri : le programme clé qui chauffe les fans

Dès 2 h 00, Masako Nozawa et Akio Iyoku ouvriront le bal avec une « Annonce de nouveau développement » autour de la licence. À 3 h 00, l’écran géant basculera sur la « Genkidama + Super annonce d’un nouveau jeu » : timing millimétré, rien n’est laissé au hasard. Les sessions suivantes détailleront les mises à jour de Dokkan Battle, Legends et l’essai public de Sparking! ZERO. La journée se clôturera par un concert live de Hironobu Kageyama, l’homme derrière « CHA-LA HEAD-CHA-LA », parce qu’un anniversaire sans karaoké DBZ ne serait pas vraiment un anniversaire.

Nouveau jeu Dragon Ball : quels indices avant l’annonce ?

Le silence radio officiel n’empêche pas les claviers de fumer. Beaucoup parient sur un retour de la licence Budokai Tenkaichi, d’autres rêvent d’un RPG coopératif façon Xenoverse mais next-gen. L’historique parle : chaque grosse révélation conduite par Akio Iyoku a bousculé le marché, du film « Broly » à « Daima ». Les chances d’un simple spin-off mobile restent donc faibles. Objectif affiché : franchir un nouveau cap technique et rassembler les joueurs console, PC et cloud autour d’un même ring virtuel.

Si le titre vise 2027, les équipes disposent d’un an pour distiller trailers, collectors et démos. Une stratégie en mode « Ginyu Force » : pose dramatique, effet maximum. Reste à voir si l’Unreal Engine 5 sera de la partie et si le style cel-shading mythique évoluera vers une 2.5D façon FighterZ ou un monde ouvert intégral.

Un écosystème vidéoludique déjà dense : quel espace pour le nouveau venu ?

En 2025, la licence compte cinq jeux actifs. Xenoverse 2 allonge son pass d’extension, Kakarot multiplie les arcs, FighterZ flirte avec l’e-sport olympique, Sparking! ZERO promet des combats couchés sur 60 FPS, tandis que Gekishin Squadra impose sa dimension MOBA free-to-play cross-plateforme. Le futur titre devra donc éviter la cannibalisation. Un positionnement narratif inédit pourrait être la clé : pourquoi pas une plongée dans l’ère des Saiyan antérieurs à Bardock ou un focus sur l’Univers 6 ?

Au-delà du jeu : l’énergie d’une licence quadragénaire

Le Genkidamatsuri n’est pas qu’une vitrine gaming. Stands merch, tournois de cartes Fusion World, zones d’essai mobile : le parcours visiteur ressemblera à un marathon sous caféine. L’événement rappelle aussi le Daimatsuri 2024 où le premier épisode de « Daima » avait été projeté en avant-première mondiale. Entre nostalgie et innovation, Dragon Ball démontre qu’il sait gérer son KI comme un manager gère son planning : anticipation, montée en puissance, exécution parfaite.

Prochain checkpoint : 25 janvier 2026. À partir de là, les paris s’ouvriront sur les dates de bêta, les éditions collector et la traditionnelle figurine de Goku en early bird. Quoi qu’il arrive, la flamme Dragon Ball reste intacte et continue de réunir plusieurs générations autour d’une même question : « Tu charges la Genkidama avec moi ? »

Julie Glawi

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.