Trunks n’était pas censé être le fils de Vegeta ! Le créateur de Dragon Ball a changé ses plans au tout dernier moment
Akira Toriyama a déjà admis bosser « au feeling », mais le cas Trunks reste son plus beau coup de bluff.
Dans les brouillons de 1991, le jeune guerrier était prévu comme simple pupille de Bulma, sans lien saiyan.
La veille de l’encrage, le mangaka retourne la table et offre un fils à Vegeta : l’histoire de Dragon Ball bascule.
Origine secrète de Trunks : l’impro de dernière minute qui a tout changé
Selon l’éditeur Kazuhiko Torishima, Toriyama cherchait juste un « voyageur temporel » pour dynamiter l’arc des Androids.
Il n’avait pas nommé le personnage, encore moins fixé sa parenté, jusqu’à ce fameux fax envoyé à la rédaction du Jump.
L’idée d’un héritier royal est née parce qu’un assistant a gribouillé des mèches violettes rappelant Bulma : la filiation est validée dans la foulée, sprint avant bouclage.
Pourquoi Vegeta devait rester solitaire… puis non
L’éditeur pensait que garder le prince sans descendance accentuait son obsession de surpasser Goku.
Toriyama, lui, pressent qu’un fils ouvrira un arc émotionnel inédit et forcera Vegeta à évoluer, condition vitale pour rallonger la série.
Dragon Ball Daima (2025) scelle enfin la connexion père-fils
Le final de la nouvelle série montre un Vegeta Super Saiyan 3 rebaptisé « Ultra Vegeta 1 » en clin d’œil à la description enfantine de Trunks.
Les fans guettaient ce miroir depuis trente ans : ils l’ont eu, avec en prime une scène où les deux guerriers synchronisent leur KI comme un duo de guitare.
Ultra Vegeta 1 : hommage discret à la bourde initiale
Dans l’épisode 12, Vegeta glisse « Je te vois, petit Ultra » à Trunks avant de charger Beerus : phrase qui efface l’erreur d’écriture de 1991 et boucle la boucle.
La presse japonaise y a vu l’exemple parfait d’une retcon réussie : transformer une improvisation en héritage narratif solide.
Ce clin d’œil scénaristique rappelle qu’un détail minuscule peut remodeler tout un shōnen, un peu comme une réunion qui dérape et change un business plan.
Le revirement généalogique influence l’arc Majin Buu
Sans Trunks, pas de séquence d’entraînement « mets-moi un coup et on file au parc » qui humanise Vegeta et rend son sacrifice final déchirant.
Les chercheurs en psychologie, cités par Anime-Studies 2025, comparent cette progression à la théorie d’Erikson : passage de l’isolement à la générativité.
Une paternité inespérée, moteur dramatique
Lorsque Future Trunks tombe face à Cell, le hurlement de Vegeta prouve qu’un lien paternel s’est construit dans la Room of Spirit and Time.
Toriyama avouera plus tard qu’il a dessiné cette rage en pensant à son propre fils qui, ce jour-là, venait de casser un dessin animé préféré.
Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.

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