Pourquoi C-17 est devenu l’un des personnages les plus appréciés de DBZ ces dernières années ?

Depuis quelques années, C-17 a changé de statut dans la galaxie Dragon Ball. Autrefois simple antagoniste, il captive désormais un public bien plus large. Mais qu’est-ce qui explique cette montée en popularité ?

Pourquoi C-17 s’est imposé comme un personnage clé de Dragon Ball Z

C-17 n’est plus ce cyborg froid et mécanique des débuts. Sa transformation en gardien d’une réserve naturelle montre une facette inattendue. Il est devenu un personnage complexe, entre guerrier redoutable et protecteur engagé.

Une évolution marquante dans Dragon Ball Super

À la base, C-17 est une création du docteur Gero avec sa sœur C-18, conçus pour éliminer Goku. Ce qu’on a souvent oublié, c’est sa véritable puissance physique et mentale. Lors du Tournoi du Pouvoir, son calme imperturbable et son énergie infinie l’ont distingué.

Son rôle de capitaine de l’équipe de l’univers 7 a étonné plus d’un fan, volants même parfois la vedette à des personnages comme Vegeta ou Piccolo. Le voir passer d’antagoniste à héros est un revirement qui a plu à beaucoup.

Un personnage qui combine force et humanité

C-17 n’est pas juste un robot. Avant la transformation, il s’appelait Lapis et menait une vie normale avec sa sœur. Cette dualité entre machine et humain le rend attachant. Sa vie paisible sur son île, entouré de sa famille, ajoute une profondeur rarement vue chez un cyborg.

Ce mélange étrange entre guerrier invincible et protecteur de la nature brise totalement le stéréotype. Les fans adorent cette complexité, qui sort du cadre traditionnel du black-and-white manichéen.

Les combats emblématiques qui ont forgé sa légende

Sur le terrain, C-17 a marqué les esprits grâce à des duels intenses. Son affrontement contre Piccolo, un vrai classique, a révélé ses capacités uniques. Même après avoir été vaincu par Gohan, il n’a jamais perdu de sa superbe.

Au Tournoi du Pouvoir, sa stratégie a bluffé. Affronter Jiren ou Toppo n’est pas donné à n’importe qui, et pourtant il est resté un pilier solide. Cette endurance exceptionnelle vient de son énergie qui ne faiblit jamais, un vrai avantage en combat prolongé.

Un retour inattendu mais bien maîtrisé

Alors que C-17 semblait écarté après la saga Cell, son come-back dans Dragon Ball Super a surpris. Cette renaissance n’a rien d’un hasard : ce personnage a été repensé pour coller à une image plus mature et réfléchie.

Il devient un symbole d’évolution et de changement, une notion chère à la saga Dragon Ball tout entière. Cette transformation narrative lui a permis de sortir de l’ombre pour devenir un héros apprécié et incontournable.

Les raisons culturelles et merchandising qui renforcent son succès

Au-delà des épisodes, la popularité de C-17 passe aussi par le merchandising. Figurines Bandai ou Banpresto, jeux vidéo comme Fortnite intégrant des skins Dragon Ball, il est partout. Cette omniprésence sous-entend une reconnaissance grandissante de son statut.

De plus, les fans créent des fanfictions ou mash-ups où C-17 affronte des héros d’autres univers – un signe fort d’identification. Cette capacité à traverser les frontières du manga classique témoigne d’un véritable engouement.

Une icône geek qui fait le pont entre passé et présent

C-17, c’est aussi un peu la connexion parfaite entre la nostalgie des années 90 et l’animation moderne. Les trentenaires d’aujourd’hui, qui ont grandi avec DBZ, voient en lui un symbole de cette époque revisitée. Son look intemporel et sa personnalité complexe font mouche.

Cette alchimie entre souvenirs d’enfance et renouveau narratif est rare. Elle crée un lien fort avec les fans qui jonglent entre vie pro et passions geek, fidélisant un public large et dédié.

Julie Glawi

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.