Plus sévère qu’avec Sangohan, l’entraînement que Piccolo impose à la petite Pan dévoile un potentiel effrayant

Alors que Dragon Ball Super continue de surprendre en 2025, un point retient aujourd’hui toute l’attention : la rigueur presque militaire que Piccolo impose à la jeune Pan. Plus intense que son fameux bootcamp de l’arc Saiyan avec Sangohan, ce nouvel entraînement révèle des capacités qui pourraient bien redistribuer les cartes du pouvoir dans l’univers.

La stratégie inédite de Piccolo pour pousser Pan au-delà de ses limites

Sans détour, le Namekian a volontairement orchestré un faux kidnapping via l’armée du Ruban Rouge. Le but : provoquer un électrochoc psychologique chez Sangohan tout en confrontant sa fille à une situation extrême. Si, à l’époque, six mois de survie en pleine nature avaient suffi à réveiller le prodige qu’était Gohan, Piccolo change aujourd’hui de paradigme et opte pour un stress aigu mais contrôlé. Cette pression courte, couplée à une surveillance discrète, s’appuie sur le concept de « base sûre » bien décrit par les psychologues du développement : l’enfant sait instinctivement que le mentor veille, ce qui libère un potentiel explosif.

Entre souvenirs de l’arc Saiyan et nouvelle méthode choc

En Age 761, Gohan n’avait que quatre ans lorsque Piccolo l’abandonnait dans un désert peuplé de dinosaures. Aujourd’hui, c’est une approche diamétralement opposée : immersion éclair, stimuli multiples (combattants masqués, fausse hostilité), et monitoring permanent du ki. L’idée ? Simuler une menace de niveau Gamma sans jamais franchir le seuil de danger réel. Cette pédagogie par « micro-traumatismes dosés » trouve un écho dans les recherches de 2024 sur la résilience infantile, confirmant qu’un stress aigu mais maîtrisé peut accélérer l’apprentissage moteur et la prise de décision.

Quels dangers réels derrière ce faux kidnapping orchestré ?

La confiance absolue de Piccolo en sa propre puissance – surtout depuis son vœu d’éveil de potentiel – reste l’angle mort du plan. Si un adversaire imprévu dépassait ses prévisions, Pan se retrouverait sans filet. Le précédent de l’apparition de Gamma 1 et Gamma 2 l’a démontré : un simple écart d’estimation peut transformer une mise en scène en catastrophe. Le parallèle avec la stratégie de Goku avant le Cell Game illustre ce risque : croire au génie de son élève ne justifie pas tout.

Le facteur Gamma et la variable imprévisible

Les androïdes héroïques de Dr Hedo sont programmés pour analyser en temps réel la dangerosité d’un combat. Si leur algorithme détecte un écart entre l’intensité simulée et le ki réel de Pan, l’escalade devient instantanée. Piccolo parie sur sa capacité à neutraliser la menace avant ce seuil. Or, les données du combat holographique « Ultimate Battle 2025 » montrent qu’un Gamma survolté peut augmenter sa puissance de 38 % en moins de douze secondes : une marge qui réduit d’autant le temps de réaction du Namekian.

Un potentiel effrayant : Pan, héritière d’un pouvoir dormant

Les relevés énergétiques réalisés par Bulma au QG Capsule Corp affichent un pic de ki chez la fillette équivalent au Gohan pré-adolescent du combat contre Cell. Autrement dit, à trois ans, Pan tutoie déjà les sommets atteints par son père à onze ans. Les experts estiment que, si ce rythme se maintient, elle pourrait atteindre le seuil Super Saiyan 3 dès l’adolescence, voire franchir la barrière divine avant ses vingt ans.

Projection 2025 : quel niveau pour Pan face aux Saiyans de légende ?

À l’échelle chronologique, le tournoi inter-univers prévu pour l’hiver 2025 pourrait devenir le théâtre d’un choc inédit : Pan contre Broly. Les simulations effectuées sur BRS-X, l’IA tactique de Whis, positionnent déjà la jeune Terrienne avec 62 % de chances de survie face au légendaire Super Saiyan, un score supérieur à celui de Vegeta au même âge d’entraînement. Si Piccolo maintient sa tutelle tout en évitant l’imprudence, l’univers 7 verra naître l’une des combattantes les plus redoutables de son histoire.

Julie Glawi

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.