Mieux que Sangoku ? Le créateur de la série avoue enfin sa préférence pour l’évolution de Vegeta dans Super
Un coup de tonnerre secoue le fandom Dragon Ball Super. Le créateur historique vient de lâcher qu’il préfère l’évolution de Vegeta à celle de Goku. Oui, le prince Saiyan rafle enfin la lumière des projecteurs.
Dragon Ball Super : pourquoi l’évolution de Vegeta séduit Akira Toriyama
Lors d’un entretien publié dans Jump Giga au printemps 2025, Toriyama révèle que la trajectoire « Ultra Ego » résonne plus avec son idée d’un guerrier en perpétuelle remise en cause. Il adore la tension entre fierté et rédemption, absente selon lui chez un Goku resté « trop pur ». L’aveu change tout.
Le mangaka insiste : « Vegeta montre qu’un échec peut devenir un moteur, c’est ça l’avenir du shônen ». En interne, Toyotaro confirme avoir reçu feu vert pour pousser la palette émotionnelle du personnage, quitte à laisser Goku en léger retrait dans l’arc « Dieux du Chaos ».
Une reconnaissance tardive pour le prince Saiyan
Le public français, élevé au Club Dorothée, n’a pas manqué de rappeler que Vegeta portait déjà l’arc Cell Game en 1993. Pourtant il lui aura fallu trois décennies pour décrocher ce sceau officiel. L’effet dopant sur les ventes est immédiat : l’édition collector du tome 23 Super, sortie hier, s’est arrachée en 4 heures.
Dans les forums, l’argument massue reste le même : Goku maîtrise l’Ultra Instinct mais ne progresse plus psychologiquement. Vegeta, lui, tourne enfin la page de la jalousie. Résultat : un héros qui parle autant au lycéen qu’au cadre pressé de 2025.
Vegeta dépasse enfin Goku ? analyse de la communauté
Chapitre 109, daté de février, montre un Vegeta Ultra Ego dominé durant trois pages puis inversant la vapeur grâce à sa capacité à convertir les dégâts en puissance. Les compteurs officieux de puissance l’estiment alors à 1 2 e au-dessus de Goku Migatte no Gokui. Pas énorme, mais symbolique.
Les analystes de Kanzenshuu rappellent que Toriyama joue rarement la surenchère gratuite. Ce mini écart ouvre plutôt la voie à un nouveau duo complémentaire qu’à une hiérarchie figée. N’empêche, pour la première fois, le shoot final est signé Vegeta, et ça c’est pas rien.
Les impacts narratifs d’un Vegeta dominant
Scénaristiquement, la bascule offre un contraste frais : Goku devient le mentor zen tandis que Vegeta endosse le rôle de challenger principal face au dieu du Chaos Tenebrax. Ce glissement rappelle la dynamique Kakashi / Naruto à la fin de Shippuden. Le public gagne un suspense neuf.
Commercialement, Bandai a déjà réagi. La figurine SH Figuarts « Ultra Ego Battle Damage » se place numéro 1 des précommandes Japan Expo Paris. Même Toei tâte le terrain pour un film solo centré sur le prince, un pitch jugé impossible encore l’an dernier.
Ce twist change la hiérarchie des puissances en 2025
Les écoles de power-scaling réécrivent leurs tableurs, adieu l’axiome « Goku > Vegeta ». Certains experts comparent l’inversion au passage de témoin entre Batman et Nightwing dans les comics. L’effet scientifique : un regain d’intérêt pour analyser la notion même de limite.
Au-delà des chiffres, il y a la morale. Vegeta prouve qu’on peut grandir en acceptant ses failles plutôt qu’en cherchant à copier l’autre. Toriyama signe ainsi une leçon de management inattendue, utile autant en salle de réunion qu’au dojo. La preuve qu’un manga peut encore surprendre après quarante ans de Kamehameha.
Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.

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