Le Super Saiyan devait devenir la forme normale de Goku mais Akira Toriyama a finalement renié son idée
Le plan initial d’Akira Toriyama était simple : faire du Super Saiyan la nouvelle normalité de Goku. En 2025, cette info ressort d’une vieille interview et secoue encore les timelines geek. Eh oui, l’auteur a finalement fait machine arrière, et ça change tout !
Super Saiyan : l’idée révolutionnaire que Toriyama voulait rendre ordinaire
Dès la saga Freezer, le mangaka envisageait que la chevelure dorée devienne l’état de base de son héros. L’objectif ? Gagner du temps en dessin, moins d’ombres à encrer, moins de retouches de trame. Problème : un Goku blond H24 aurait tué la surprise, et la Toei craignait de griller le pic d’audience trop tôt.
Quand la rage de Goku sur Namek a tout changé
L’épisode 95, Krilin explose, Namek tremble, Freezer ricane. Les téléspectateurs de 1991 ont vu la couleur passer au fluo et le KI exploser. Ce climax imprévu a prouvé que garder la transformation rare maintenait la hype, Toriyama l’a admis plus tard.
Pourquoi l’auteur a fini par reculer
Deux raisons principales ressortent de ses confidences. D’abord, la peur d’épuiser la carte émotionnelle : si Goku commence chaque combat en Super Saiyan, comment monter la barre ? Ensuite, la pression éditoriale : le Weekly Shônen Jump misait sur la progressivité, pas sur un plateau direct au sommet.
Escalade de puissance et course à l’épisode choc
Le choix de ne pas figer Goku en blond a ouvert la porte à toute la gamme : SS2, SS3, God, Blue, Ultra Instinct. Chaque évolution répondait à la même équation : ennemi plus fort, transformation plus flashy. Sans ce recul stratégique, pas de crinière argentée face à Jiren dans le Tournoi du Pouvoir.
Les conséquences sur la saga et les fans
En laissant le Super Saiyan rare, Toriyama a créé un rituel attendu, comme le Kamehameha chargé cinq pages. Les jeux vidéo, de Budokai à FighterZ, capitalisent sur cette échelle de formes. Quant aux collectionneurs, ils n’auraient jamais aligné autant de figurines différentes si Goku avait gardé la même coupe en permanence.
Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.

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