Le plus faible adversaire de DBZ accède au Super Saiyan 3 : une transformation surprenante à découvrir absolument !
Raditz passe en Super Saiyan 3, oui, c’est arrivé, et c’est officiel.
L’outsider de Dragon Ball Z explose les compteurs dans l’anime Super Dragon Ball Heroes.
Retour express sur cette claque cosmique et ce qu’elle révèle du multivers DB.
Raditz Super Saiyan 3 : le virage 100 000 volts qui bouscule le canon
Dans l’épisode diffusé fin 2025, l’aîné de Goku traverse une faille temporelle et décroche d’un coup la crinière XXL dorée.
Pas de SSJ1, pas de SSJ2, la fast-track est totale, un peu comme passer de stagiaire à CEO sans pause café.
Dragon Ball Heroes adore ce genre de raccourci, tant pis pour les puristes, l’effet waouh prime.
Un boost énorme… qui ne change rien au tableau de scores
Malgré la crinière façon rideau de théâtre, Raditz se fait encore sortir par Thalès dans la même séquence.
C’est presque cruel mais c’est l’ADN de la licence : hype plus défaite égale souvenir impérissable.
Les joueurs l’ont revécu manette en main dans World Mission sur Switch et PC, flanqués d’un Vegeta et d’un Nappa eux aussi en SSJ3.
Le ratio kiff versus frustration rappelle les tournois Budokai Tenkaichi des années 2000, quand on pickait un perso juste pour son ultimate quitte à perdre la manche.
L’effet Dragon Ball Heroes : laboratoire d’idées ou fan-service XXL ?
La série arcade née au Japon en 2010 est devenue l’incubateur des scénarios les plus fous : Vegetto SSJ4, Golden Cooler, Gohan du futur Ultra Instinct, la porte est grande ouverte.
Toriyama n’a pas signé pourtant le public suit, porté par le multivers à la Marvel avant l’heure.
Chaque saison ressemble à un brainstorming sans PowerPoint et ça fait du bien.
Cette liberté inspire même les développeurs de Dragon Ball Sparking Zero, attendu fin 2025, qui tease déjà des formes alternatives en DLC day one.
Aujourd’hui voir un « faible » briller rappelle une vérité très RH : le potentiel se niche parfois là où on ne l’attend pas.
Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.

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