La nouvelle Ichiban Kuji « Dragon Ball : The Chronicle of Goku » débarque au Japon en mai 2026

La hype est déjà en surchauffe : Bandai Spirits lâche une nouvelle bombe collector avec l’Ichiban Kuji « Dragon Ball : The Chronicle of Goku ». Le lancement japonais est calé pour mai 2026, pile à temps pour saboter vos bonnes résolutions budgétaires. Préparez vos portefeuilles, la loterie la plus sournoise de l’année arrive.

Ichiban Kuji « The Chronicle of Goku » : le concept qui traverse l’histoire de Son Goku

Chaque ticket, vendu autour de 900 yens (la fourchette habituelle), peut vous propulser de la première rencontre avec Bulma jusqu’au finish Ultra Instinct. Bandai recycle l’idée gagnante de 2025 : les figurines lèvent les yeux vers le collectionneur pour une interaction immédiate, façon selfie intergalactique.

Le packaging suit une frise chronologique rétro : côté gauche, Goku microscopique sur son nuage, côté droit, un guerrier chevelu à faire pâlir Freezer. L’ensemble promet une étagère où les époques se télescopent comme un agenda trop serré un lundi matin.

Un focus nostalgie de Kid Goku à l’Ultra Instinct

Les premiers leaks confirment le retour des socles modulaires : la figurine de Maître Roshi se clipse à Krilin, lui-même raccordé à Tenshinhan, créant une photo de famille XXL. À l’autre extrémité, Goku Silver Hair bondit, clin d’œil à l’épisode 129 que tout fan a vu trois fois pendant la pause déjeuner.

Cette continuité visuelle n’est pas anodine : Bandai compresse quarante ans d’aventure en un diorama unique, une vraie roadmap de carrière pour le Saiyan. La stratégie vise clairement le collectionneur pressé qui veut tout résumer en un coup d’œil.

Quel budget prévoir pour décrocher l’ensemble des lots ?

Un simple calcul donne le vertige : huit à dix personnages principaux, plus les variantes mystères, plus le stand « THE GIGANT NAME » réservé au dernier ticket vendu… Comptez facilement 25 à 30 tickets pour viser la scène complète, soit l’équivalent d’un week-end à Tokyo sans l’hôtel.

Le précédent crash-test, l’édition « Enfance de Son Goku » d’août 2025, avait déjà prouvé la mécanique : tirer 10 fois pour le lot H afin d’épeler « DRAGON BALL », puis recommencer parce qu’il manquait la lettre D. Les forums de collectionneurs comparent l’opération à un marathon sous gravité augmentée.

Le piège des variantes « mystère » à 900 yens l’unité

Chaque lot A à D cache une version secrète : deux Goku, deux Kame Sennin, deux Lunch, deux Krilin. Vous piochez, vous choisissez, et pourtant le doute persiste. Résultat : impossible de s’arrêter tant que la rarissime Lunch aux cheveux bleus n’est pas capturée.

Ajoutez la Double Chance en ligne, valable jusqu’au 30 novembre 2026, offrant 50 logos Dragon Ball supplémentaires. Cette prolongation assoit la légende : la collection n’est jamais terminée, elle se déplace juste sur votre relevé bancaire.

Trois tactiques pour maximiser vos tirages Ichiban Kuji

Première : viser les petites boutiques de quartier à l’ouverture, l’allocation de lots y est souvent intacte. Deuxième : mutualiser les tickets entre amis ; chacun garde son perso préféré, tout le monde économise des yens. Troisième : jouer la carte en ligne quand les stocks physiques sont rincés, le tirage digital reste souvent moins prisé.

Dans tous les cas, fixez une limite de tickets avant de traverser la porte : la nostalgie n’excuse pas l’overdraft. Comme dirait Bulma quand elle planifie une expédition, « le meilleur outil reste un budget carré ».

Julie Glawi

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.