Gogeta et Vegetto peuvent-ils fusionner ? La réponse OFFICIELLE d’Akira Toriyama crée la stupeur

Dragon Ball adore secouer ses fans avec des révélations sorties de nulle part. Quand Akira Toriyama lâche l’info officielle sur la fusion de Gogeta et Vegetto, c’est tout internet qui s’arrête ! Impossible de ne pas se demander, entre paperasse et deadline, qui sortirait vraiment vainqueur si ces deux surhommes fusionnaient à leur tour.

Petite pause rappel : Gogeta et Vegetto, c’est le résultat explosif des fusions entre Goku et Vegeta. Mais pour les réunir tous les deux, il fallait bien une réponse qui claque, non ?

La fusion ultime : Gogeta + Vegetto, vraiment possible selon Toriyama ?

Parmi les débats éternels dans les open space des fans Dragon Ball, la question fuse — et rien de plus logique. La réaction a été immédiate quand Akira Toriyama a tranché : « Officiellement, il est impossible pour Gogeta et Vegetto de fusionner entre eux ». Oui, même dans un épisode spécial organisé à la pause déj, c’est no way.

Le raisonnement est simple mais implacable. Les deux guerriers sont… la fusion de la même paire ! Goku + Vegeta, sauce Potara ou sauce Danse, mais la base reste identique. Autrement dit, impossible d’empiler deux fusions sur les mêmes ingrédients — même dans l’univers de Dragon Ball où une boule de cristal peut ressusciter tout le monde le lundi soir.

Gogeta contre Vegetto : la puissance à l’état pur

On serait tenté de lancer un match amical entre les deux fusions justes pour voir la montagne d’effets spéciaux exploser. Du côté de Vegetto, la fusion via les Potaras apporte une puissance terrifiante déjà vue contre Buu ou Zamasu.

Face à lui, Gogeta réactualisé dans « Dragon Ball Super: Broly » a magné la nostalgie jusqu’à la moelle. La Danse de Fusion l’amène à affronter un Broly furieux… et sortir le Super Saiyan Blue sans broncher. Même le passage en Super Saiyan God Super Saiyan fait tourner les têtes au bureau.

Différences de process : Potaras et Danse, ça change quoi ?

Pas question de négliger l’importance des méthodes. Les Potaras imposent une fusion d’une heure maximum (pour les mortels). Oui, comme une réunion de service : au bout d’un moment, c’est la déconnexion garantie, même avec toute la caféine de la Terre.

La Danse de Fusion se veut plus « express », avec une fenêtre de 30 minutes seulement. Pas de prolongations ni de PowerPoint en bonus, tout doit rentrer dans le timing. La moindre erreur de synchronisation ? On se retrouve avec du Gogeta façon cacahuète, ambiance Gotenks-raté garantie.

Question de personnalité : quand le caractère prend le dessus

La personnalité des deux héros fusionnés ne pouvait pas être plus différente. Vegetto ? Un troll de compèt’, qui n’hésite pas à jouer avec ses adversaires. Il dégaine aussi vite la punchline que le Final Kamehameha (fans de la VF, on se comprend).

Gogeta, lui, mise tout sur l’efficacité. Pas de blabla inutile, la mission passe avant tout. La version du film Broly en rajoute une couche côté détermination — sans tomber dans le style-manga tape-à-l’œil du 1er Gogeta des années 90. Un vrai chef de projet, carré, qui solde les soucis avant l’apéro.

Et s’ils devaient trancher au chrono ?

Dans un duel en mode « Qui tiendra le plus longtemps », la longueur de la fusion joue en faveur de Vegetto, sur le papier du moins. Pourtant, la danse Metamor, côté Gogeta, offre un punch immédiat, là où les Potaras, même limités, peuvent donner un léger avantage stratégique si le combat s’éternise.

Côté puissance brute, les deux sont des monstres… mais impossible de prouver un écart franc sans que Toriyama ne vienne lui-même arbitrer la baston, réunion d’équipe aidant. En 2025, toujours aucune preuve que l’un mettrait l’autre KO — situation idéale pour garder les fans sur le qui-vive jusqu’au prochain round !

Julie Glawi

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.