Dragon Ball Z Kakarot lève le voile sur le trailer du DLC « DAIMA – Partie 2 », attendu début 2026
Bandai Namco a lâché la bombe : le trailer de Dragon Ball Z Kakarot – DLC « DAIMA – Partie 2 » vient d’atterrir. L’extension est annoncée pour début 2026, mais la vidéo donne déjà envie de foncer sur un nuage magique. Pas le temps de souffler, on débriefe tout de suite !
Trailer explosif : les infos qu’il ne fallait pas louper
Soixante-quinze secondes de pur fan-service, un rythme qui fait battre le cœur plus vite qu’un combat Goku vs Vegeta. Le trailer confirme le retour de l’Armée du Ruban Rouge et glisse un clin d’œil appuyé aux premiers épisodes du manga. Cerise sur le senzu : un Goku chibi prêt à en découdre, clin d’œil direct à la mini-série TV « Daima ».
Le scénario s’annonce plus sombre qu’il n’y paraît
Entre deux coups de poing, on aperçoit une Capsule Corp en ruine. Le studio tease une timeline alternative où Bulma aurait raté une invention clé, déclenchant la crise. Les fans débattent déjà : paradoxe temporel ou univers parallèle ?
À 0 min 41, un plan furtif montre Shenron sous contrôle maléfique, un détail passé crème mais qui change tout. La promesse est claire : l’arc jouera avec les codes, façon Chrono Trigger mélangé à la saga Cell.
Nouveautés gameplay promises pour début 2026
Le moteur de Kakarot adopte une gestion du Ki dynamique : chaque transformation pèsera sur l’endurance, fini la Super Saiyan spam party. De nouvelles quêtes secondaires, plus courtes mais ramassées, devraient réduire les marathons inutiles et coller à un planning d’adulte pressé.
Focus sur les combats et la camera revue
Adieu la caméra trop lointaine : le studio parle d’un mode « ring-side » plaçant le joueur au ras du tatami. Résultat : plus d’impact visuel, moins de pertes de temps à tourner autour de boss géants. L’optimisation vise aussi les consoles portables de 2025, Switch 2 et Steam Deck OG inclues.
Réussir un Perfect Combo rapportera désormais des capsules de compétence rares, histoire de motiver les try-harders du dimanche. Et oui, la coop locale reste absente, le studio préfère booster la fluidité solo plutôt que bricoler un split-screen anémique.
Le pari nostalgie : quand 90’s rime avec 2026
« DAIMA » ressuscite l’esprit des épisodes diffusés sur le Club Dorothée, musique funky incluse. Le compositeur original Shunsuke Kikuchi n’est plus là, mais ses arrangements sont remixés façon chiptune pour flatter les oreilles retrogamer. Avouez, le thème de l’ouverture vous trotte déjà dans la tête !
Bandai Namco capitalise sur la vague rétro qui inonde Netflix et Crunchyroll. Après tout, 2025 a vu le retour triomphal de Sailor Moon Cosmos ; sortir un DLC gorgé de souvenirs, c’est surfer sur le même nuage magique. Un pari double : attirer les quadragénaires et initier la Gen Alpha à l’univers Dragon Ball.
Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.

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