Dragon Ball Super : l’erreur anatomique sur Gohan qui a failli détruire la réputation du dessinateur

Dragon Ball Super a récemment offert un choc inattendu aux fans avec une erreur visuelle qui aurait pu coûter cher au dessinateur principal. Gohan, le héros puissant et emblématique, a été dessiné avec une erreur anatomique flagrante dans un chapitre crucial. Cette bourde a déclenché une avalanche de réactions sur les réseaux sociaux, posant une question : comment un détail aussi simple a-t-il pu passer inaperçu ?

Gohan, qui a longtemps peiné à retrouver sa gloire d’antan, est aujourd’hui une force incontournable dans l’univers DBS. Mais même les plus forts ont leurs failles, et dans ce cas, cette faille s’est affichée en grand dans un dessin mal maîtrisé. Un coup dur pour le dessinateur, dont la réputation a vacillé le temps d’un chapitre.

Le mystère de cette erreur et son impact sont au cœur de cet article qui vous plonge dans les coulisses de ce raté visuel.

Dragon Ball Super : la puissance de Gohan confrontée au dilemme de la vision

Gohan Beast, introduit dans le film Dragon Ball Super: Super Hero, faisait palpiter le cœur des fans avec une montée en puissance impressionnante. Pourtant, tout récemment dans le manga, une faiblesse inattendue a été dévoilée : Gohan souffre d’une vue catastrophique !

Dans le chapitre #96, le guerrier légendaire doit plisser les yeux pour reconnaître ses alliés, ce qui semble presque comique mais illustre bien une limite humaine dans un univers autrement fantastique. Il avoue d’ailleurs avoir “jeté ses lunettes plus tôt”, ce qui laisse perplexe sur sa capacité à combattre efficacement.

Cette déficience visuelle est révélée comme un obstacle, car même sa transformation Super Saiyan, qui améliore sa perception, ne règle pas complètement le problème. Une vraie faiblesse terrestre chez un personnage pourtant doté d’un potentiel colossal.

Une bourde anatomique qui frôle la catastrophe pour le dessinateur

Alors qu’on attend toujours des dessins précis et cohérents, un passage du manga a montré Gohan avec une anatomie bancale. Cette erreur visuelle, passée quasi-inaperçue côté storyboard, a fait un tollé une fois publiée. Le cou mal placé, les proportions étranges, bref, un vrai bug dans un dessin sinon soigné !

Les fans, toujours vigilants, n’ont pas manqué de pointer du doigt ce lapsus. Les réseaux sociaux se sont enflammés, allant jusqu’à remettre en cause le professionnalisme du dessinateur. C’est clair qu’avec une œuvre culte comme Dragon Ball, le moindre faux pas est analysé au microscope.

Fort heureusement, cette erreur n’a pas duré longtemps, mais elle a suffi à semer un doute chez une partie des lecteurs qui exigent toujours un travail impeccable.

Entre fan service et continuité : la transformation Ultimate et ses embrouilles nommages

Gohan a toujours été un personnage un peu complexe au niveau de ses transformations. Son état « Ultimate », ou « Potentiel libéré », date de Dragon Ball Z, mais son officialisation reste floue dans le canon actuel. Or, Dragon Ball Super a récemment réutilisé ce terme, provoquant un léger chaos chez les puristes !

Le nom « Ultimate » était en fait déjà utilisé dans un ancien jeu vidéo, créant une sorte de double emploi dans la franchise. Cette confusion complexe aurait pu être évitée en adoptant un nom inédit pour rendre cette transformation plus cohérente et autonome.

Du coup, le travail sur Gohan semble parfois tiré entre hommage nostalgique et nécessité de modernisation. Ce délicat équilibre fait souvent vaciller la franchise entre plaisir des fans et rigueur narrative.

Gohan : l’humain au cœur du super guerrier

La vue catastrophique de Gohan symbolise sa dimension « humaine » dans un univers peuplé d’extraterrestres et de dieux du combat. C’est un trait qui rend le personnage encore plus attachant et crédible. Il ne suffit pas d’avoir du KI à foison pour tout voir clair !

Cette faiblesse, même si elle paraît anecdotique, a un réel impact scénaristique. Rappelez-vous la saga Majin Buu, où cette déficience lui a fait rater un Potara, ce qui aurait pu changer le cours de la bataille. Gohan reste un guerrier avec des points faibles, ce qui le rend d’autant plus fascinant.

Au fond, cette imperfection dans l’anatomie visuelle et dans ses capacités le rend plus vivable, plus vrai. Un paradoxe pour un héros de manga.

Julie Glawi

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.