Dragon Ball Genkidamatsuri : le plan officiel de l’événement révèle toutes les zones à explorer

L’affiche vient de tomber et le plan officialise enfin chaque recoin du Dragon Ball Genkidamatsuri. Les zones à explorer s’annoncent aussi denses qu’un Kamehameha chargé à bloc. Impossible d’attendre 2026 sans préparer son itinéraire !

Dragon Ball Genkidamatsuri 2026 : la carte détaillée du Makuhari Messe

Au centre, le Genkidama Stage concentre toutes les annonces capitales, du premier trailer au final en feu d’artifice. Autour, quatre pavillons thématiques encerclent la scène comme les planètes du système Kaiô. Chaque espace porte le nom d’une attaque culte pour ne perdre personne.

La scène centrale : cœur battant d’une journée marathon

Dès 2 h du matin (Paris), Masako Nozawa entre en piste pour réveiller même ceux qui ont oublié leur réveil. À 3 h, la bannière « Genkidama + Super annonce d’un nouveau jeu » s’illumine, timing millimétré digne d’une Turbo Time Watch.

Un nouveau jeu Dragon Ball révélé en direct

Bandai Namco ne se contente pas du carton de Sparking! ZERO. La firme promet un titre Next Gen pensé pour 60 fps et Ray Tracing, histoire de sentir le souffle de Broly sur la nuque. Le studio tease déjà un mode coop façon Fusion Dance !

Pourquoi miser sur une double sortie jeu + DLC Sparking ZERO ?

La licence n’a jamais laissé un trou de plus de dix mois dans son calendrier depuis 2015. En proposant un DLC massif puis un nouveau titre, Bandai Namco verrouille l’engagement des joueurs tout en doublant la mise sur le e-sport. C’est le même combo gagnant que Xenoverse + FighterZ, mais dopé au Senzu.

Vers le retour musclé de l’anime Dragon Ball Super

La présence d’Akio Iyoku, architecte de Broly et Super Hero, alimente chaque rumeur. Les fans guettent une suite centrée sur Moro ou Black Freezer, arcs déjà story-boardés dans le manga. Toei Animation dispose d’un créneau libre dès avril 2026 : le timing est parfait.

Le plan décennal de Toei : deux films et un nouvel arc

Toei a dévoilé un programme sur dix ans pour ses licences phares. Deux longs-métrages Dragon Ball sont budgétés sur l’exercice 2026, avec option glissement 2027. Un format film pour lancer l’arc Moro puis une série saisonnière : le modèle Demon Slayer fait des émules, et l’équipe l’assume.

Activités annexes : jeu de cartes, mobile et concerts nostalgiques

Le pavillon Dokkan & Legends invite les joueurs à décrocher des Chrono Crystals en live. Juste à côté, le tournoi exclusif Dragon Ball Super Card Game Fusion World permet de remporter un deck collector estampillé « Genkidamatsuri 2026 ». À la tombée de la nuit, Hironobu Kageyama monte sur scène : la salle entière hurle CHA-LA HEAD-CHA-LA comme en 1993.

Pas de diffusion live officielle ? Voici le plan B

Pour l’instant, aucune chaîne TV n’a signé. Qu’à cela ne tienne, les réseaux sociaux Dragon Ball balanceront les trailers dans la foulée. Un conseil : activer les notifs YouTube et X, sinon les spoilers vont frapper plus vite qu’un Final Flash.

Pourquoi 25 janvier 2026 risque de marquer un tournant

Entre le nouveau jeu, l’hypothétique reprise de Super et un calendrier cinéma chargé, la franchise entre dans sa phase la plus explosive depuis Battle of Gods. Le dernier rendez-vous d’une telle ampleur remonte à la Jump Festa 2017 : la hype avait relancé l’anime en moins de six mois.

Et après ? Cap sur les 50 ans !

Genkidamatsuri sert de rampe de lancement au plan 2030 : Toei vise déjà l’Expo Universelle d’Osaka. Si la machine est bien huilée, Goku franchira peut-être un jour le Guinness : licence la plus longue à tenir le top 10 mondial. Les paris sont ouverts.

Julie Glawi

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.