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C’est confirmé : le retour de Gohan dans le manga n’aura pas lieu avant 2026

Par Julie Glawi , le 23 décembre 2025 à 17:32 - 4 minutes de lecture
découvrez pourquoi le retour de gohan dans le manga est officiellement repoussé à 2026 et ce que cela signifie pour les fans de la série.

C’est officiel, le come-back de Gohan dans le manga Dragon Ball ne se fera pas avant 2026. Cette longue pause du personnage emblématique déçoit, surtout quand on connaît son potentiel énorme. En même temps, la franchise prépare un vrai tournant qui promet de secouer tout l’univers des fans.

Retour de Gohan dans Dragon Ball : la pause du manga jusqu’en 2026 confirmée

La série papier est en stand-by, et ce n’est pas qu’une rumeur : Shueisha a confirmé que Dragon Ball ne reprendra pas avant 2026, au plus tôt. La disparition d’Akira Toriyama a laissé un sacré vide juridique autour des droits, retardant les négociations. Entre ça, Toyotarō qui prend son temps pour digérer les idées du maître, c’est la froide réalité pour les lecteurs impatients.

Ce silence génère des rumeurs et des théories à foison, donnant presque le rôle de sport national à deviner ce qui se trame dans l’ombre. Certains croient déjà à une « Final Saga » très attendue, une sorte de compromis entre hommage et renouveau. Le défi va être de taille : respecter l’héritage sans tourner en rond.

Les raisons du vide laissé par Toriyama et l’impact sur Gohan

La mort d’Akira Toriyama en 2024 a chamboulé tous les plans. Le créateur était au cœur des décisions, notamment sur les directions narratives des personnages comme Gohan. Sans lui, les ayants droit doivent jongler entre famille, éditeur et studios.

Résultat, la gestion du personnage est devenue plus prudente, voire hésitante. On sent que tout le monde veut éviter de décevoir un fandom qui ne pardonne pas. Ce contexte rend la resurrections du héros « potentiel éveillé » plus lente que prévu.

Le film mystère et ses liens avec le futur de Gohan

Toei Animation garde le silence, mais quelques indices ont filtré. Le scénario en cours évoquerait un face à face entre Gohan et Trunks version adultes. Ambiance buddy-movie spatial, avec du combat stratégique. Le budget effets spéciaux dépasse celui de Dragon Ball Super : Super Hero, ça promet du lourd pour 2026 !

Le mystère plane aussi autour d’un caméo Broly, ce qui pourrait bousculer les dynamiques déjà établies. Et si ce film était l’amorce d’un retour en force pour Gohan, mais version ciné avant le manga ?

Shueisha, Toyotarō : entre pause et stratégie

Tandis que le manga dort, Toyotarō travaille sur un arc court, dix chapitres, déjà storyboardé. Pas encore validé. C’est long, mais ça colle à la stratégie de Shueisha : garantir la qualité et ne pas se précipiter.

Pour les fans, ça peut sembler frustrant, mais le niveau d’exigence est à la hauteur d’un univers culte. Le dernier tome affiche 1,2 million de ventes, en baisse, mais la demande numérique explose. On sent que l’attente est aussi un levier pour relancer la machine.

Le jeu vidéo, un levier pour garder la flamme Gohan vivante

Bandai ne perd pas de temps. La sortie d’un Budokai Tenkaichi nouvelle génération est prévue avec un mode co-op en story. L’alpha tourne déjà sur PS5 avec ray tracing et 120 fps, de quoi emballer la communauté.

Ce jeu s’annonce comme la carte maîtresse pour maintenir Gohan et ses potes sous les projecteurs le temps que le manga revienne. DLC et figurines en édition limitée entrent dans la danse pour maximiser l’impact cross-media.

Crunchyroll et Funimation : le duel du simulcast mondial

Le streaming est devenu incontournable. Crunchyroll et Funimation se préparent à livrer une expérience live avec sous-titres et doublages multilingues. Le but ? Créer un événement mondial, un mode « community watch » où chaque épisode deviendrait un rendez-vous.

Avec un public multi-générationnel, c’est maintenant que la bataille se joue pour garder l’attention, dans un monde où trois secondes d’ennui et c’est le switch.

Tombée dans la marmite de la culture geek avant même de savoir marcher, Julie ne jure que par une chose : l’énergie pure. Fan inconditionnelle et encyclopédie vivante de Dragon Ball Z, elle applique la philosophie de Goku au quotidien : toujours dépasser ses limites, même s’il s’agit juste de finir une série culte en un week-end.

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